dysharmonie hypophyso-ovarienne "SPM"

Publié le par bea attitude

Réduire les symptômes du SPM grâce au massage.

Chez la femme, le syndrome prémenstruel (SPM) peut causer de l'irritabilité, des maux de tête, des migraines, de l'insomnie, la tuméfaction des seins et de l'abdomen, de l'anxiété, un gain pondéral de 1 à 2 kg. Une étude* récente a démontré que le massage peut soulager tous ces symptômes. 

L'étude a été réalisée auprès de 34 femmes, dont l'âge variait de 19 à 45 ans et qui souffraient du syndrome de dysharmonie hypophyso-ovarienne, une forme sévère de SPM. Le groupe a été divisé en deux, un groupe recevant un massage d'une durée de 30 minutes 2 fois par semaine et l'autre groupe profitant d'une thérapie de relaxation.



Le massage était fait comme suit : pour les 15 premières minutes, la femme est couchée sur le dos, le massothérapeute fait un pétrissage du cou, un lissage du front, des pressions sur le haut des épaules et un massage doux des mains, des bras et des épaules, un massage circulaire de la région de l'estomac, en poursuivant avec un massage des jambes, des pieds et des cuisses. Pendant les 15 dernières minutes, la femme est couchée sur le ventre, des pressions glissées sont exercées sur les muscles des cuisses, des jambes et du bas du dos, du cou et des épaules et des étirements des chevilles. 



Quant aux participants du groupe en relaxation, on leur apprenait à contracter et relâcher leurs muscles, en partant des pieds vers la tête, en 2 séances de 30 minutes par semaine. 









L'étude a démontré l'efficacité du massage pour réduire l'anxiété, diminuer la dépression et la perception à la douleur, et une diminution générale des symptômes du syndrome prémenstruel et de la rétention d'eau. 


Une prochaine étude est prévue pour analyser les effets bienfaisants du massage sur une longue période. L'étude conclut que le massage réduit la douleur et la rétention d'eau et qu'à court terme, le massage diminue l'anxiété et améliore l'humeur des femmes souffrant du syndrome prémenstruel, plus efficacement que la relaxation.

Publié dans Massages

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M
Bonjour les filles! Je vous écris pour partager mon témoignage en médecine procréative. J’ai vécu une expérience de la stimulation ovarienne. Je prenais du clomid, ovestant et urgestant. Et j’espère se retrouver celles qui se sont retrouvée dans la situation pareille. <br /> Lorsque notre couple a décidé d’avoir le deuxième enfant on était déjà parents d’un merveilleux garçon. Aujourd’hui notre fils a sept ans. Nous sommes vraiment chanceux d’éviter le moment de jalousie entre notre fils et le futur bébé. L’idée d’avoir une petite sœur lui plaît beaucoup. Au fait, depuis quelques mois déjà il nous demandait une petite sœur. <br /> Du coté professionnel et financier on a toutes les possibilités pour avoir encore un bb. Donc les circonstances me paraissaient bienveillantes. J’ai arrêté ma pilule. Je ne suis pas tombé enceinte tout de suite. Mais cela ne me paraît pas particulier. Car normalement le corps a besoin de reprendre ses forces. Ma gy ne me l’a pas affirmé. Les ovaires reprennent leur cycle normal dans quelques mois. Sinon, au cas opposé elle me prescrira les bouteurs.<br /> Euh donc on a laissé attendre. Deux mois. Puis trois mois. Après trois mois j’ai pris un rdv. La gyné me dit d’attendre encore un mois. Et si je ne réussis pas à tomber enceinte je prendrais une stimulation. Comme vous l’avez deviné, objectif fût failli. <br /> Et finalement j’ai commencé le traitement pour aider mes ovaires. Je prenais clomid depuis jour 2 jusqu’au jour 6 du cycle. Un comprimé chaque jour pendant cette période. Puis deux jours de pause. Le neuvième jour jusqu’à jour 14 deux C. d’oves tan. Un jour de repos. J 16 à j 26 unes c d’urges tant. Comme ça trois cycles de suite.<br /> Il faut admettre que la stimulation hormonale se sent assez fort. Même si elle est effectuée en mode doux, prolongé comme le mien. Durant le premier cycle je me sentais faible et aussi j’eus un autre genre de réaction. Un peu étrange. Je me croyais dégrader intellectuellement. Oui car soumise à l’action des pilules j’ai eu du mal à penser. Comme si ma tête était pleine de l’ouate. Et j’étais ralentie dans mes pensées.<br /> Au cours du deuxième cycle je suis devenue migraineuse. Ce n’est pas chaque jour que j’avais les maux de tête, mais assez souvent. Genre trois fois par semaine. Heureusement aucun saignement ou douleurs abdominales. Donc j’ai pu continuer le traitement. Pendant le troisième cycle quelquefois j’ai eu des vomissements. Mais rien de plus grave. <br /> Malheureusement la stimulation ne m’a pas aidé. Je ne tombais pas enceinte après cette thérapie. J’en ai parlé à ma spécialiste. Après le diagnostic on a découvert le problème. La qualité des ovocytes est insuffisante pour concevoir. Je pouvais avoir des enfants seulement à l’aide du don d’ovocytes. Un don très généreux. La gynécologue m’a adressé vers le centre pma local. Là notre couple a dû passer par la procédure de mise en protocole. Rien de très agréable en somme. J’ai eu l’impression que tout le personnel de l’hôpital m'a diagnostiquée. Et voyait mon vagin. Adieux la pudeur si vous êtes en pma! <br /> Ce qui est vraiment dommage c’est qu'après être acceptée au dossier, j’ai attendu pendant un an et demie pour recevoir les ovocytes. De la part d’une inconnue que je ne pourrai jamais remercier. Je ne pourrai pas savoir à qui elle ressemble et à qui va ressembler mon enfant. J’ai eu plusieurs arguments pour chercher une autre solution. Et je l’ai trouvé dans une clinique à l’étranger. Elle s’appelle Biotex. <br /> Bien sur, les pma à l’étranger ne sont pas le paradis. Il existe une énorme quantité des aspects qu’il faut contrôler. Mais mon témoignage sera trop long si j’essaye d’expliquer tout dans un message. Pourtant ce qui m’a attiré vers la clinique à l’Est de l’Europe c’est l’absence de l’attente du don. La possibilité de voir à la moins votre donneuse. Car je crois que c’est important de faire connaissance avec une femme qui vous aide à devenir parent. <br /> Moi perso, pour l’instant j’attends le résultat de la deuxième Pds. La première a été positive, mais à vrai dire j’ai encore du mal à y croire. Donc c’est dans cette période d'attente que j’écris ce message.
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