Vaccins de la petite enfance

Publié le par bea attitude

"What Doctors Don't Tell You, U.K., vol. 4, N°8, 1993" et le "NVIC (National Vaccine Information Center) News, US Oct. 1993", conclurent que tous les Vaccins qui sont administrés à des enfants causent des préjudices ou des dommages.
{Livre, Esprit du soleil (Par l'), Anne et Daniel Meurois Givaudan, Ed. Arista}


Il existe plus d'une étude scientifique dans les milieux médicaux prouvant, hors de tout doute, que la vaccination des enfants âgés de moins de deux ans est, non seulement très dangereuse pour ces même enfants, mais encore, celle-ci attaque directement le système immunitaire de ces même enfants. Ces études furent publiées et commentées, dans le passé, dans plusieurs journaux médicaux de différents pays.
{Dossier, Dossier d'Enquête Journalistique, Serge Monast, Ed. Presse Libre Nord Américaine}


Pratiquée trop tôt et trop brutalement, la vaccination met en danger le fragile équilibre énergétique de l'enfant... Les conséquences désastreuses qui peuvent en résulter seront évitées en refusant de vacciner l'enfant de 6 ou 8 mois, période où il est protégé par les anticorps maternels. Les vaccins seront faits séparément afin d'éviter le choc provoqué par l'inoculation brutale de 3 ou 4 maladies en même temps (diphtérie, tétanos, polio et coqueluche). Enfin, la vaccination devra être précédée par la prescription du nosade vaccinal en 9CH, deux ou trois jours avant l'injection. L'ensemble de ces mesures s'avère efficace pour prévenir les perturbations énergétiques majeures. Quant au nombre de vaccinations, il sera réduit à deux, la troisième étant remplacée par la prescription du nosade en 5, 9, 12 et 15CH, les doses étant prises à un jour d'intervalle. Elmiger affirme que cette pratique fait merveille conférant une immunité à vie. Seuls les vaccins diphtérie, tétanos, polio et rubéole sont préconisés. Pour les autres (oreillons, rougeole, coqueluche et BCG) Elmiger développe toute une argumentation qui établit leur nocivité et en proscrit l'emploi.
{Livre, Révolution silencieuse de la médecine (La), Joseph Levi (Dr), Ed. Le Club}


Elmiger dit que "chaque fois que vous entendez parler d'une affreuse mort d'enfant, terrassé dans
les premières semaines de sa vie par une "méningite virale", vous êtes en droit de suspecter le BCG même si l'autopsie a confirmé le diagnostic viral.". Le BCG peut causer aussi une infirmité motrice cérébrale. Elmiger et d'autres homéopathes constatent que les infirmes dont ils ont eu à s'occuper ont tous reçu une vaccination à la naissance.
{Livre, Révolution silencieuse de la médecine (La), Joseph Levi (Dr), Ed. Le Club}


"Nos enfants risquent la mort ou de graves effets indésirables à long terme à cause de vaccins obligatoires qui ne sont pas nécessaires ou ne présentent que des avantages très limités." (Jane M. Orient, Docteur en Médecine, Directrice de l'Association des Médecins et des chirurgiens Américains)
{Magazine, Nexus, No 14, 05-06/2001}

Publié dans Ouvrez Les yeux

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